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Plus de 10000 ONG(S) en Haiti : « se blan ki desid » (c’est l’étranger qui décide)

Editeur
Last updated: 2021/02/18 at 3:00 AM
Editeur 4 years ago
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L’aéroport international Toussaint-Louverture s’est refait une santé. Propre et presque accueillant. Avec escaliers roulants et boutiques hors taxe. Des couloirs mobiles comme il n’y en eut jamais avant le séisme vous mènent directement de l’avion à l’intérieur. Espoir : la reconstruction a commencé, les milliards annoncés ont enfin atteint leurs premières cibles. On imagine les bulldozers, les pelleteuses et camions de chantier à la besogne. On se prend à penser qu’ils expliquent le blokus, cet embouteillage monstrueux que le chauffeur de taxi vous annonce d’emblée comme permanent.

Contents
Le confort des golfeursprofite aux réfugiésDes organisations connuesde tous mais pas de l’EtatIci, on sait que,pour l’avenir,«se blan ki desid»

Mais non. La restauration de l’aéroport constitue, avec le déblaiement des artères principales, le seul projet qui se soit concrétisé en douze mois : la reconstruction n’a pas commencé. Contrairement aux édifices les plus solides d’une capitale désormais dévastée, le pouvoir de la classe politique et économique qui étrangle ce pays depuis deux siècles a résisté au séisme du 12 janvier 2010. Kleptomanes jusque dans les mots, elle s’est approprié celui de «refondation», qui structurait le projet du mouvement social de refonte des structures de l’Etat… et l’a vidé de son sens. La «refondation», pour l’heure, c’est la continuité.

On connaît les chiffres d’un désastre aggravé par l’inertie (ou l’inconscience?) d’une caricature d’Etat dépourvue de structures, de moyens et de légitimité politique. Autant qu’à la tectonique des plaques, c’est au chaos urbain, à l’absence d’infrastructures dignes de ce nom que l’on doit ce macabre décompte : trois cent mille morts, autant de blessés, plus d’un million de déplacés, la plupart dans des centaines de camps autour de la capitale.

Les images de Port-au-Prince montrées par la télévision — à la recherche du pire — ont donné l’impression d’une ville rasée. Le crescendo dans l’horreur nourrissait l’audience. La réalité est autre; elle n’en est pas moins tragique. Quelques îlots, notamment les bâtiments publics à étages, sont entièrement détruits. Dans les vieux quartiers du centre et de l’ouest, trois maisons sur quatre ont plus ou moins résisté. Quand on gravit les mornes environnants (l’altitude géographique correspond grosso modo à la stratification sociale), les dégâts sont moindres. Le confirme un travail promptement mené par des centaines d’ingénieurs haïtiens et étrangers au moyen de tampons collés aux édifices : vert (habitable), orange (travaux indispensables) et rouge (à détruire). Plus on s’élève, plus le vert prédomine… En bas, c’est le rouge. Ou les camps.

Dès l’arrivée, on les voit, on les respire, tant ils sont nombreux dans la zone proche de l’aéroport, sur les terrains plats de la Croix-des-Bouquets, de Tabarre et de toute la plaine du Cul-de-Sac. L’agencement des bâches de plastique dans lesquelles s’engouffre le vent forme d’immenses vagues bleues et blanches, parfois mouchetées des couleurs inattendues d’autres matériaux protecteurs. Les camps, hier préférés aux quartiers du bord de mer ou des collines les plus pentues — ces immenses bidonvilles qui s’étendent inexorablement depuis des décennies —, commencent à leur ressembler.

Une succession de tentes si serrées qu’on peine à glisser une table en plastique entre deux toiles. Promiscuité extrême, conditions de vie oscillant entre l’insupportable et l’épouvantable. Et ce malgré une aide extérieure «d’urgence» et «massive». Le visiteur n’est pas encore parvenu dans le centre de Port-au-Prince qu’une certitude s’impose à lui : au rythme actuel des décisions et des décideurs, l’«urgence» pourrait s’éterniser.

Le confort des golfeurs
profite aux réfugiés

Le terrain de golf de Pétionville, un lieu autrefois très couru de quelques-uns. Trente mille personnes y ont trouvé refuge. Avantage sur d’autres camps : les paysagistes, soucieux du confort des golfeurs, l’ont agrémenté de superbes ombrages — efficaces pour protéger les nouveaux arrivants du soleil qui darde entre deux averses — et d’amples allées, qui facilitent les déplacements alors que le chaos règne ailleurs. Les sentiers sont bordés de murs de sacs de sable, pour guider les eaux pluviales dévastatrices. Et puis, Pétionville, ce sont quelques salles de classe improvisées, une clinique pour enfants, assez de points d’eau pour tous, un cybercafé certains jours et des réfugiés relogés pas trop loin de leurs quartiers d’origine.

Les organisations non gouvernementales (ONG) assurent l’approvisionnement en eau potable et les soins, vident les latrines et fournissent des fontaines mobiles. Comme ailleurs, la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah) — arrivée à la suite du renversement du président Jean-Bertrand Aristide, après l’intervention des Etats-Unis et de la France, en 2004 — est là. Mais, comme ailleurs, point d’Etat haïtien! «Un ministre ici? Jamais vu, assure un réfugié qui participe au conseil du camp. Ils ont peur, peut-être, des réactions…»

Pétionville fait figure d’exception : tous les camps ne sont pas aussi bien lotis. Et pourtant. Les toiles résistent mal aux orages. Elles abritent moustiques, rats et autres parasites. Parce que la vie — ou le sens de la survie — reprend très vite le dessus, le petit commerce se développe — vente de canne fraîche, de coca, de clairin (une eau-de-vie à base de canne à sucre), de savon —, tout comme les cantines et des balbutiements d’artisanat. Les petits trafics prospèrent le long de venelles malodorantes.

Par temps sec, les matières fécales forment partout l’essentiel des particules en suspension. Tout comme l’eau souillée, elles transportent le bacille du choléra qui vient de faire son retour dans l’île après une absence de près d’un siècle. Maladie relativement aisée à prévenir — avoir accès à de l’eau saine et pouvoir se laver les mains limitent les risques —, elle fait ici des ravages. Mi-décembre, près de cent mille personnes avaient été touchées, trente-quatre mille hospitalisées. On dénombrait plus de deux mille deux cents décès. Tomas, le cyclone qui a balayé l’île le 5 novembre, a favorisé la propagation de la bactérie. Partout, les fosses septiques débordent et mêlent leur boue aux immondices charriées par les orages. Réceptacle des eaux furieuses et des ordures qu’elles entraînent, les camps deviennent d’immenses cloaques en proie aux vibrions cholériques.

Mais d’autres prédateurs rôdent : les propriétaires fonciers. Au golf, maniant l’intimidation, ils ont chassé les déplacés installés sur des terrains adjacents. Les escarmouches se multiplient : les terrains vacants valent désormais de l’or. La spéculation va bon train, portée par la flambée des prix de l’immobilier. La destruction de beaucoup d’archives lors du séisme, l’incertitude quant aux titres de propriété, l’absence de cadastre dans tout le pays promettent d’innombrables conflits.

Des locations? Les prix ont triplé. Logique : l’offre a baissé et la demande enflé. Les ONG, prises par l’urgence, n’ont guère le choix. Des fortunes nouvelles se bâtissent. Les anciennes, celles des oligarques, se consolident. Comme le résume un médecin, «la solidarité des premiers jours a fait long feu. On en arrive à une conséquence inattendue : les inégalités s’aggravent!». Elles sont déjà les plus extrêmes des Amériques.

Le premier objectif : déblayer. Des escouades de tee-shirts aux couleurs des ONG s’acharnent autour des gravats, armées de pelles et de balais qui tiennent lieu de grues et de bulldozers. Sisyphes tropicaux, ils entassent le jour ce que l’averse tropicale éparpille la nuit. C’est peu dire que la productivité est faible. Les ordures, empilées, propagent les pires diarrhées. Chacun le répète : au rythme actuel des camions, dix ans ne suffiront pas à évacuer la caillasse.

Passer des tentes à des abris provisoires (durée de vie prévue : de trois à cinq ans) en bois, plastique et tôle permettrait pourtant de jeter les bases d’une vie moins précaire. La construction de cent quarante mille cabanes de ce type — les T-shelters — est prévue, financée même, à raison de 1 500 euros l’abri de quinze mètres carrés. Mais où? Sur quels terrains? Et obtenus comment? Réquisitionnés? Achetés en sous-main? En Haïti, la «politique du logement» s’orchestre entre cinq ministères différents. Au mieux, c’est la cacophonie. Dans les faits, elle n’existe pas. Résultat : seulement onze mille cabanes édifiées en onze mois! Quand le dernier abri sera terminé, le premier sera hors d’usage… D’autant que le nombre de «campeurs» ne diminue pas.

Des organisations connues
de tous mais pas de l’Etat

En janvier dernier, le séisme avait provoqué un exode urbain. Les provinces avaient alors accueilli près d’un demi-million de personnes, tentant, avec l’aide des ONG déjà sur place et des communes (sans ressources propres), de fournir écoles, logements, services médicaux, d’organiser distributions alimentaires, chantiers, soins psychologiques… Les familles se sont serrées pour recevoir leur parentèle. Parfois jusqu’à épuisement des économies. Conséquences : appauvrissement des provinces et incapacité à contrarier une vieille pesanteur, l’hypercentralisation.

Au bout de quelques mois, 80% de ceux qui avaient quitté la capitale pour la province ont fait le chemin inverse. Même limités, les services qu’on sait pouvoir trouver dans la capitale — y compris dans les camps de fortune — valent mieux que l’environnement d’une bicoque incertaine à la campagne. La migration intérieure a repris son sens habituel et son rythme infernal. Les camps n’en seront que plus durables.

Depuis longtemps, pour la majorité des Haïtiens, le service public ce n’est pas l’Etat : ce sont les ONG. Avant le séisme, le Programme alimentaire mondial (PAM) nourrissait près de deux millions d’Haïtiens, la diaspora peut-être autant (1). La catastrophe n’a fait qu’intensifier cette dépendance. Qu’on le veuille ou non, à Port-au-Prince, les ONG représentent la condition de la survie.

Au milieu des agences de l’Organisation des Nations unies (ONU), dix mille associations de solidarité soutiennent Haïti depuis le monde entier. Plus d’un millier opèrent sur place. La moitié sont inconnues de l’Etat, mais leurs logos identifiés par tous les Haïtiens.

Venues, à l’instar des colonialismes de jadis, des deux côtés de l’Atlantique, elles sont présentes dans la quasi-totalité des camps. Parc automobile luxueux, logistique coûteuse qui participe au blokus d’une agglomération au bord de l’apoplexie. Ce sont elles qui assurent un «travail contre salaire» à plus de cent mille citoyens chargés du déblaiement. Le salaire de 200 gourdes (à peine 4 euros) par jour constitue un pactole, que le président René Préval avait trouvé en 2009 trop dispendieux pour l’économie haïtienne et qu’il avait refusé, malgré une longue lutte sociale. Mais, en Haïti, les ONG sont plus puissantes que l’Etat.

L’humanitaire constituait un tiers du produit intérieur brut (PIB) en 2009. Des centaines de milliers de personnes en vivent : non seulement les salariés, mais aussi leurs familles. Certains blan — étrangers en créole — en vivent même très bien : les Haïtiens peuvent le mesurer dans les restaurants ou les poubelles de Pétionville, encore assez riches pour nourrir les plus pauvres. D’ailleurs, le souhait de tout diplômé haïtien, c’est d’émigrer (2) ou de rejoindre une ONG. En 2009, après des années d’«aide» supposée faciliter son développement, l’Etat haïtien dépendait encore à 60% des institutions internationales pour équilibrer son budget ordinaire. Il faut dire que, même en progrès, le recouvrement des impôts abandonne toujours beaucoup à la corruption. Entre 2008 et 2009, 300 millions de dollars issus des remises tarifaires accordées par le Venezuela dans le cadre de l’accord Petrocaribe disparaissaient. Et presque autant dans des marchés de travaux publics.

A côté des associations se multiplient les Eglises (qui sont parfois elles aussi des ONG). Profitant de l’absence de l’Etat, évangélistes, pentecôtistes et consorts font aujourd’hui un tabac.

Cet après-midi-là, les fidèles sont rassemblés par milliers à Carrefour, dans la banlieue de Port-au-Prince. La sono crache une musique rythmée dont tout le quartier profite. La foule amorce quelques pas de danse. Suivent les sermons de révérends américains, traduits en créole : chants, scènes de liesse, lecture et commentaire de la Bible par des pasteurs locaux formés en moins d’un an. On touche les malades, nombreux. Des «miracles» ont lieu. Surtout, on remercie le Seigneur pour le repas qu’il nous accorde chaque jour par le biais de ces militants de Dieu : «Croyez et vous serez sauvés.»

Aux évangélistes et pentecôtistes s’ajoutent les Témoins de Jéhovah et les adventistes du septième jour. Sans compter les ministres de cultes autoproclamés. Il en naît à tout instant. L’armée céleste joue les avant-gardes, les commissaires religieux : «A bas les péristyles (les temples vaudous), ces lieux de satanisme!» Est-ce d’ailleurs un hasard si Dieu a frappé les bâtiments publics, la cathédrale, défenestré l’archevêque en sa demeure?

Le catholicisme est maintenant minoritaire. Laënnec Hurbon, sociologue des religions, estime qu’il ne représente plus que 45% de la population (contre 75% en 1986) : magie, thaumaturgie, culpabilisation, nouvelles formes d’indulgences, l’évangélisme offre des réseaux de solidarité plus étroits que l’Eglise catholique. Ici, les jeunes sans avenir en trouvent un, d’apparence moderne. Décourageant toute révolte et annihilant toute possibilité d’une refondation politique de la société haïtienne. L’objectif des missionnaires? Faire de l’imaginaire un bouclier face à la réalité : cultiver l’émotion, éradiquer la réflexion. On est passé, en trente ans, de l’émergence d’une théologie de la libération — incarnée par M. Jean-Bertrand Aristide, président en 1991, puis de 1994 à 1996 et de 2001 à 2004 — au culte de la résignation.

Ici, on sait que,
pour l’avenir,
«se blan ki desid»

La période d’urgence s’achève; pourtant l’urgence s’aggrave. Chacun comptait sur la Commission intérimaire pour la reconstruction d’Haïti (CIRH), coprésidée par M. William Clinton, envoyé spécial de l’ONU, et par le premier ministre Jean-Max Bellerive, pour assurer le relais. Résultats décevants : peu de projets entérinés, coordination médiocre entre les bailleurs, mise à l’écart de la société civile haïtienne, mauvaise volonté des Etats à tenir leurs promesses, fascinante disposition de leurs dirigeants à «placer» leurs entreprises. Ils paraissent bien loin, les 10 ou 15 milliards de dollars annoncés. Seuls 10% des dons ont effectivement été collectés. Dans ces conditions, du cadastre à la formation des maîtres, des hôpitaux au soutien à l’agriculture, les projets ne sont que partiellement financés. Et rarement bouclés.

Les élections? Les préoccupations de la population sont ailleurs, décalées : un abri, un djob et de l’hygiène. Avec le sentiment qu’Haïti est un pays qui ne s’appartient plus. Que l’avenir, «se blan ki desid» (c’est l’étranger qui décide). Reconstruction, recréation, refondation? L’avenir se nomme plutôt rafistolage, y compris de l’ordre ancien : comment renforcer un Etat dont le fonctionnement est structurellement malsain et déficient? Quels moyens donner à un système politique basé sur le clientélisme, garant d’une société à deux vitesses? Il suffit de profiter du blokus pour observer : de rutilantes 4 5 4 climatisées aux vitres teintées et des smartphones pour quelques-uns, la marche à pied ou la brouette pour les autres. La classe politique, à quelques éléments de modernité près, ne change pas.

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Editeur February 18, 2021 February 18, 2021
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