By using this site, you agree to the Privacy Policy and Terms of Use.
Accept
LE PATRIOTE-L'information est un droitLE PATRIOTE-L'information est un droit
  • Home
    • Home 2
    • Home 3Hot
    • Home 4
    • Home 5New
  • Politics
    Politics
    Politics is the art of looking for trouble, finding it everywhere, diagnosing it incorrectly and applying the wrong remedies.
    Show More
    Top News
    It’s Final: 12 Names on The 2025 Ballot for President, 9 for VP
    3 years ago
    Best beaches in the UK for the Perfect Sandy Getaway
    4 years ago
    8 Mistakes That Will RUIN Your Weekend Trips Plan
    4 years ago
    Latest News
    It’s Final: 12 Names on The 2025 Ballot for President, 9 for VP
    3 years ago
    National Day Rally 2023: Sacrifice, Effort Needed to Preserve Harmony
    3 years ago
    10 Places You Can’t Miss If It’s Your First Time in European
    4 years ago
    8 Mistakes That Will RUIN Your Weekend Trips Plan
    4 years ago
  • Technology
    TechnologyShow More
    Buying a Car Will Soon be Like Buying a Phone, Why Your Next Car Could be an EV
    6
    Hands-On With the iPhone 13, Pro, Max, and Mini
    4 years ago
    Explained: What are Smart Glasses and How Do It Work?
    4 years ago
    Apple VS Samsung– Can a Good Smartwatch Save Your Life?
    4 years ago
    Corsair HS80 RGB Wireless Gaming Headset Review
  • Posts
    • Post Layouts
      • Standard 1
      • Standard 2
      • Standard 3
      • Standard 4
      • Standard 5
      • Standard 6
      • Standard 7
      • No Featured
    • Gallery Layouts
      • Layout 1
      • Layout 2
      • layout 3
    • Video Layouts
      • Layout 1
      • Layout 2
      • Layout 3
      • Layout 4
    • Audio Layouts
      • Layout 1
      • Layout 2
      • Layout 3
    • Post Sidebar
      • Right Sidebar
      • Left Sidebar
    • Review
      • Stars
      • Scores
      • User Rating
    • Content Features
      • Highlight Shares
      • Inline Mailchimp
      • Print Post
      • Inline Related
      • Source/Via Tag
      • Reading Indicator
      • Content Size Resizer
    • Table of Contents
      • Full Width
      • Left Side
    • Sponsored Post
  • Pages
    • Search Page
    • 404 Page
Reading: 9 Most Beautiful Mountains Of The World For Trekkers In This Summer
Share
Notification Show More
Aa
LE PATRIOTE-L'information est un droitLE PATRIOTE-L'information est un droit
Aa
  • Economics
  • Politics
  • Pursuits
  • Business
  • Science
  • Technology
  • Fashion
  • Home
    • Home 1
    • Home 2
    • Home 3
    • Home 4
    • Home 5
  • Demos
  • Categories
    • Technology
    • Business
    • Pursuits
    • Fashion
    • Economics
    • Politics
    • Science
    • Wellness
  • Bookmarks
  • More Foxiz
    • Sitemap
Have an existing account? Sign In
Follow US
  • Advertise
© 2022 Foxiz News Network. Ruby Design Company. All Rights Reserved.
FashionPursuits

9 Most Beautiful Mountains Of The World For Trekkers In This Summer

And then there is the most dangerous risk of all, the risk of spending your life not doing what you want on the bet you can buy yourself the freedom to do it later.

Editeur
Last updated: 2021/08/26 at 5:39 AM
Editeur 4 years ago
Share
List of Images 1/7
PETROCARIBE : La firme SECOSA un tribu mafia très puissant en Haiti .
<!-- wp:paragraph --> <p></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Secosa, firme haïtienne de construction implantée en Haïti depuis 1998 et engagée dans la réalisation d'immeubles résidentiels et commerciaux, ne jure que par la construction d'habitats décents au profit des Haïtiens. La compagnie qui s'est spécialisée dans la construction des routes et des ponts est en passe de remettre, entre autres projets, les clefs du marché public de Saint-Raphaël, selon les précisions de son P.D.G., Jean Emile Laférière et son vice-président Patrick Pereira.(2011-05-10 | Le Nouvelliste)</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le rapport de la Cour des Comptes sur la dilapidation des fonds de Petro Caribe, à propos des 25 stades de Laurent Lamothe-Olivier Martelly, est on ne peut plus clair: »<em>la Cour constate que le MPCE a lancé un appel d’offre restreint qui était infructueux à cause de la non-conformité des offres des soumissionnaires</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Pour la Cour, une telle irrégularité peut avoir un impact sur la communauté. C’est exactement le constat fait la semaine dernière par le ministre Tèt Kale des Sports, Max Attys, qui a confirmé que « <em>nèg yo</em> <em>kraze lajan-an</em>« . Le total des résolutions adoptées pour l’exécution des « <em>25 stades Lamote-Olivier</em> » totalise 36 241 633.59 USD et les montants transférés atteignent 27 787 385.59 USD, devrions-nous préciser.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>De Jacmel dans le Sud-Est à Jérémie dans la Grande Anse en passant par les Cayes dans le Sud, le constat est presque le même partout, a insinué Attys ne cachant pas sa stupéfaction face à ces « <em>infrastructure</em>s <em>sportives insignifiantes</em> » ayant coûté au trésor public des centaines de millions de gourdes. Max Attys en accordant une mention Zéro à l’ex-premier ministre Laurent Lamothe a souligné qu’en fin de compte « <em>Haïti n’a même pas un terrain de sport standardisé</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le ministre des Sports en visitant les emplacements d’infrastructures sportives de Port-de-Paix, bastion du président Jovenel Moise à l’époque de l’exécution de ces projets par le fils de son dauphin, n’a pas caché sa déception et va jusqu’à déclarer que « <em>malgré le déblocage des fonds, aucuns travaux n’ont jusqu’à présent pas été entamés</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Pour la Cour, une telle irrégularité peut avoir un impact sur la communauté. C’est exactement le constat fait la semaine dernière par le ministre Tèt Kale des Sports, Max Attys, qui a confirmé que « <em>nèg yo</em> <em>kraze lajan-an</em>« . Le total des résolutions adoptées pour l’exécution des « <em>25 stades Lamote-Olivier</em> » totalise 36 241 633.59 USD et les montants transférés atteignent 27 787 385.59 USD, devrions-nous préciser.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>De Jacmel dans le Sud-Est à Jérémie dans la Grande Anse en passant par les Cayes dans le Sud, le constat est presque le même partout, a insinué Attys ne cachant pas sa stupéfaction face à ces « <em>infrastructure</em>s <em>sportives insignifiantes</em> » ayant coûté au trésor public des centaines de millions de gourdes. Max Attys en accordant une mention Zéro à l’ex-premier ministre Laurent Lamothe a souligné qu’en fin de compte « <em>Haïti n’a même pas un terrain de sport standardisé</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le ministre des Sports en visitant les emplacements d’infrastructures sportives de Port-de-Paix, bastion du président Jovenel Moise à l’époque de l’exécution de ces projets par le fils de son dauphin, n’a pas caché sa déception et va jusqu’à déclarer que « <em>malgré le déblocage des fonds, aucuns travaux n’ont jusqu’à présent pas été entamés</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p> <strong>SECOSA Lycee National De Maissade 36 105 931,36 $ Oui Jamais terminé<br> SECOSA Lycee National De Pignon 55 463 488,00 $ Oui Jamais terminé<br> SECOSA Avenant Lycee National De Pignon 55 000,00 $ 90% Jamais terminé<br> SECOSA Lycee National De Gressier 148 457 665 $ 80% Jamais terminé<br> SECOSA Nouveau Lycée National De Hinche 60 463 488,00 $ Oui Jamais Fait</strong><br> </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>SECOSA, une entreprise enregistrée en République dominicaine a reçu des millions de dollars de contrats sans appel d'offres pour rénover plusieurs lycées autour d'Haïti. Aucun des lycées n'a été rénové et l'argent a été payé en totalité, au moins dans le cadre de trois contrats distincts, la société n'a pas rendu l'argent au gouvernement haïtien. Le gaspillage est stupéfiant, le niveau de corruption et de mauvaise gestion saute aux yeux, mais le gouvernement Jovenel Moise se plaint de ne pas pouvoir absorber les immigrants haïtiens revenant des États-Unis. Quel dommage?</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="https://lenouvelliste.com/article/92271/secosa-un-parcours-de-constructeur">https://lenouvelliste.com/article/92271/secosa-un-parcours-de-constructeur</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:core-embed/wordpress {"url":"https://rezonodwes.com/2020/07/12/un-ministre-tet-kale-tres-decu-accorde-la-mention-zero-aux-25-stades-de-laurent-lamothe/","type":"wp-embed","providerNameSlug":"rezo-nodwes","className":""} --> <figure class="wp-block-embed-wordpress wp-block-embed is-type-wp-embed is-provider-rezo-nodwes"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://rezonodwes.com/2020/07/12/un-ministre-tet-kale-tres-decu-accorde-la-mention-zero-aux-25-stades-de-laurent-lamothe/ </div></figure> <!-- /wp:core-embed/wordpress --> <!-- wp:paragraph --> <p></p> <!-- /wp:paragraph -->
En tournant le dos au Venezuela les anciennes traditions diplomatiques de la République d’Haïti se meurent
<!-- wp:paragraph --> <p>Haïti, deuxième pays indépendant du continent américain, a compris d’instinct que l’éclosion de nouveaux Etats dans le Nouveau Monde consoliderait son indépendance (<a href="https://www.monde-diplomatique.fr/1957/05/JEANTY/22153#nb1">1</a>). Aussi le président Alexandre Pétion n’a-t-il pas marchandé son aide à Bolivar. Celui-ci, vaincu une première fois, cherche en vain du secours soit aux Etats-Unis, soit à la Jamaïque. Mais les Etats-Unis et l’Angleterre n’avaient aucune raison d’altérer leurs relations avec l’Espagne en favorisant la rébellion dans ses colonies. Bolivar se rendit alors en Haïti. Le président Pétion mit à sa disposition des armes, des munitions, de l’argent, des soldats, surtout les éléments de cette fameuse demi-brigade polonaise, véritables paladins de la liberté qui, envoyés à Saint-Domingue par Bonaparte pour combattre Toussaint-Louverture, refusèrent de se battre contre des hommes qui luttaient pour leur liberté.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>A Bolivar, qui avec insistance lui demandait comment lui manifester sa reconnaissance, Pétion répondit : <em>« En abolissant l’esclavage dans tous les territoires qui tomberont sous votre domination. »</em></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Fidèle à la parole donnée, Bolivar dès son retour au Venezuela libéra immédiatement les mille cinq cents esclaves qu’il avait dans ses domaines. Mais quand il décréta la liberté générale, il provoqua un profond mécontentement dans tout le pays. Les propriétaires d’esclaves étaient lésés. Abandonné de tous, même de ses principaux lieutenants, Bolivar fut battu le 10 juillet 1816 et se réfugia en Haïti. Il y resta six mois. Et une nouvelle fois le président Pétion lui donna des armes, des munitions, de l’argent. Ce sera le triomphe.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cette aide apportée à la rébellion dans les colonies espagnoles ne mettait pas Haïti en bonne posture vis-à-vis des puissances. Après vingt ans d’existence, elle n’était reconnue officiellement par aucun Etat, et il lui importait d’être reconnue par la France, l’Angleterre, l’Espagne et, à un moindre degré, par les Etats-Unis, dont l’ombre commençait à se profiler sur le continent.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Qu’attendre de l’Angleterre et de l’Espagne, qui certainement redoutaient l’exemple d’Haïti pour leurs colonies toutes proches, la Jamaïque, Cuba et Porto-Rico ? Qu’attendre des Etats-Unis, esclavagistes, qui n’étaient certainement pas enclins à reconnaître un Etat « coloured », pour employer une expression américaine ?</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Restait la France, l’ancienne métropole. Et ce fut elle qui donna le signal. La France républicaine avait été la première à proclamer la liberté générale des esclaves. Une France monarchique, celle de Charles X, fut la première à reconnaître le premier Etat noir indépendant du monde.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Les négociations furent longues et difficiles. Le roi de France, chef d’un des puissants Etats du monde, entretenait les relations les plus cordiales avec les Etats-Unis, l’Angleterre et l’Espagne, qui, nous l’avons vu, n’étaient pas enclins à reconnaître l’indépendance d’Haïti.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>On devait trouver une formule susceptible de ne déplaire à personne, car il fallait tenir compte en outre de l’opinion publique en France. Alors il fut décidé que par une charte le roi Charles X octroierait l’indépendance à l’ancienne colonie de Saint-Domingue moyennant une indemnité, offerte dès le principe, du reste, par le président Pétion pour dédommager les anciens colons.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>L’opposition en Haïti se dressa contre la charte et excita le mécontentement populaire contre ce don, cette charité d’une indépendance si chèrement acquise. Quant à l’indemnité, non seulement elle était trop élevée, mais son principe même était discuté. De nos jours encore la charte de Charles X est matière à controverse et jugée selon les sentiments que l’on éprouve pour le gouvernement du président Boyer qui l’avait acceptée. Cependant l’observateur impartial ne peut qu’approuver le gouvernement haïtien d’avoir accepté la charte. La reconnaissance de l’indépendance d’Haïti par la France était incontestablement un succès pour la diplomatie haïtienne.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le respect scrupuleux des traités et des pactes, la défense jalouse de l’intégrité de son territoire, une solidarité étroite avec les autres Etats du continent, telles étaient les grandes lignes qui devaient se dessiner de plus en plus nettement de la politique extérieure d’Haïti.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Les proverbes, contes et épopées sont méconnus de la nouvelle génération.Il en est de même que le retour à la terre, le tissage des corbeilles et paniers avec la liane, l’indigénat ( la médecine à la pharmacopée)..."<strong>Le christianisme a mystifié nos coutumes et l’Occident semble avoir pris le dessus sur notre identité culturelle</strong>" explique un septuagénaire.Il déplore la mort certaine de certains us et coutumes au profit de celles de l’Occident qui, selon lui, pervertissent les mœurs de la jeunesse du continent noir.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Selon l’historien Georges Michel, parler de la relation diplomatique entre Haïti et le Venezuela renvoie automatiquement à mars 1806 lorsque l’empereur Jacques 1<sup>er</sup> a fait don d’un stock de drapeaux bleu et rouge à Miranda qui luttait alors pour la libération de la grande Colombie, c’est-à-dire, l’actuel Venezuela, La Colombie, l’Équateur et la Bolivie. C’est sur la place de la douane de Jacmel que Miranda décide d’accoler le jaune au drapeau haïtien pour obtenir les couleurs auxquelles on reconnait aujourd’hui le Venezuela.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Après l’emprisonnement de Miranda en Espagne, Simon Bolivar prend le flambeau de la mobilisation visant à chasser les Espagnols de l’Amérique du Sud. Vaincu, il se sauve du continent, rejoint Haïti le 24 décembre 1815 et rencontre le président Alexandre Pétion à Port-au-Prince le 2 janvier 1816.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dans « Le temps des humiliés », le professeur Bertrand Badie fait de l’humiliation le mode de conduite par excellence de la diplomatie moderne. La politique extérieure d’Haïti est l’expression la plus éloquente de cette pensée du français. Car, depuis un certain temps, nous sommes rabaissés sur le plan international. Notre souveraineté n’est qu’apparence. « Nous appartenons au bataillon des incapables et des inférieurs au niveau international », soutient Hérold Toussaint dans la préface d’un ouvrage de Pierre Raymond Dumas.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Néanmoins, remontant à l’orée de l’histoire diplomatique d’Haïti, nous nous sommes rendus compte que notre diplomatie n’a pas toujours été symbole de déception et d’improductivité. « Malgré les circonstances handicapantes de son avènement au statut d’Etat-nation, notre pays avait souvent brillé dans l’arène diplomatique », phrase de Pierre Raymond Dumas. « Toussaint Louverture, Jean-Jacques Dessalines et Henri Christophe avaient su définir et établir comme prioritaires les intérêts du pays et avaient su les promouvoir dans leurs relations avec les grandes puissances », ajoute-il. Alexandre Pétion de son côté, n’a pas manqué de faire valoir notre capital historique en léguant à la postérité le concept de panaméricanisme.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Haïti considérait toute atteinte à l’intégrité de son territoire comme une menace à son existence. C’est pourquoi quand, en 1891, l’amiral Bancroft Gherardi, de la marine des Etats-Unis, se présenta avec une flotte importante pour obtenir contre cinq millions de dollars la cession de la baie du Môle de Saint-Nicolas, située en face du canal de Panama (ce qui lui donnait une valeur stratégique de premier ordre), le gouvernement haïtien manœuvra pour décourager l’amiral américain, qui s’en alla les mains vides. Puis vint la guerre hispano-américaine, et les Etats-Unis firent de Guantanamo Bay à Cuba ce qu’ils avaient voulu faire du Môle de Saint-Nicolas. Les années passent. La notion de nationalisme s’est profondément transformée, ses tenants ne sont plus les mêmes. L’intégrité territoriale passe au second plan dans les caractéristiques de la souveraineté. Les forces économiques exercent une pression de plus en plus implacable sur la vie et l’existence des peuples. En regardant en arrière, les générations d’aujourd’hui peuvent discuter le geste de leurs pères refusant l’offre de l’amiral américain... Mais c’est avec le sang versé, c’est avec les sacrifices qu’ils se sont imposés que les fils font la grandeur et la pérennité de leur patrie.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="https://www.loophaiti.com/content/opinion-diplomatie-haitienne-peut-toujours-en-parler">https://www.loophaiti.com/content/opinion-diplomatie-haitienne-peut-toujours-en-parler</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="https://ayibopost.com/entre-haiti-et-le-venezuela-une-longue-histoire-dinterets-et-de-trahisons/">https://ayibopost.com/entre-haiti-et-le-venezuela-une-longue-histoire-dinterets-et-de-trahisons/</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="http://www.gabonews.com/fr/actus/art-et-culture/article/gabon-quand-notre-tradition-se-meurt">http://www.gabonews.com/fr/actus/art-et-culture/article/gabon-quand-notre-tradition-se-meurt</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="https://www.monde-diplomatique.fr/1957/05/JEANTY/22153">https://www.monde-diplomatique.fr/1957/05/JEANTY/22153</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><br></p> <!-- /wp:paragraph -->
PETROCARIBE -HAITI : La firme SECOSA un tribu mafia très puissant .
<!-- wp:paragraph --> <p></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Secosa, firme haïtienne de construction implantée en Haïti depuis 1998 et engagée dans la réalisation d'immeubles résidentiels et commerciaux, ne jure que par la construction d'habitats décents au profit des Haïtiens. La compagnie qui s'est spécialisée dans la construction des routes et des ponts est en passe de remettre, entre autres projets, les clefs du marché public de Saint-Raphaël, selon les précisions de son P.D.G., Jean Emile Laférière et son vice-président Patrick Pereira.(2011-05-10 | Le Nouvelliste)</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le rapport de la Cour des Comptes sur la dilapidation des fonds de Petro Caribe, à propos des 25 stades de Laurent Lamothe-Olivier Martelly, est on ne peut plus clair: »<em>la Cour constate que le MPCE a lancé un appel d’offre restreint qui était infructueux à cause de la non-conformité des offres des soumissionnaires</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Pour la Cour, une telle irrégularité peut avoir un impact sur la communauté. C’est exactement le constat fait la semaine dernière par le ministre Tèt Kale des Sports, Max Attys, qui a confirmé que « <em>nèg yo</em> <em>kraze lajan-an</em>« . Le total des résolutions adoptées pour l’exécution des « <em>25 stades Lamote-Olivier</em> » totalise 36 241 633.59 USD et les montants transférés atteignent 27 787 385.59 USD, devrions-nous préciser.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>De Jacmel dans le Sud-Est à Jérémie dans la Grande Anse en passant par les Cayes dans le Sud, le constat est presque le même partout, a insinué Attys ne cachant pas sa stupéfaction face à ces « <em>infrastructure</em>s <em>sportives insignifiantes</em> » ayant coûté au trésor public des centaines de millions de gourdes. Max Attys en accordant une mention Zéro à l’ex-premier ministre Laurent Lamothe a souligné qu’en fin de compte « <em>Haïti n’a même pas un terrain de sport standardisé</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le ministre des Sports en visitant les emplacements d’infrastructures sportives de Port-de-Paix, bastion du président Jovenel Moise à l’époque de l’exécution de ces projets par le fils de son dauphin, n’a pas caché sa déception et va jusqu’à déclarer que « <em>malgré le déblocage des fonds, aucuns travaux n’ont jusqu’à présent pas été entamés</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Pour la Cour, une telle irrégularité peut avoir un impact sur la communauté. C’est exactement le constat fait la semaine dernière par le ministre Tèt Kale des Sports, Max Attys, qui a confirmé que « <em>nèg yo</em> <em>kraze lajan-an</em>« . Le total des résolutions adoptées pour l’exécution des « <em>25 stades Lamote-Olivier</em> » totalise 36 241 633.59 USD et les montants transférés atteignent 27 787 385.59 USD, devrions-nous préciser.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>De Jacmel dans le Sud-Est à Jérémie dans la Grande Anse en passant par les Cayes dans le Sud, le constat est presque le même partout, a insinué Attys ne cachant pas sa stupéfaction face à ces « <em>infrastructure</em>s <em>sportives insignifiantes</em> » ayant coûté au trésor public des centaines de millions de gourdes. Max Attys en accordant une mention Zéro à l’ex-premier ministre Laurent Lamothe a souligné qu’en fin de compte « <em>Haïti n’a même pas un terrain de sport standardisé</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le ministre des Sports en visitant les emplacements d’infrastructures sportives de Port-de-Paix, bastion du président Jovenel Moise à l’époque de l’exécution de ces projets par le fils de son dauphin, n’a pas caché sa déception et va jusqu’à déclarer que « <em>malgré le déblocage des fonds, aucuns travaux n’ont jusqu’à présent pas été entamés</em>« .</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p> <strong>SECOSA Lycee National De Maissade 36 105 931,36 $ Oui Jamais terminé<br> SECOSA Lycee National De Pignon 55 463 488,00 $ Oui Jamais terminé<br> SECOSA Avenant Lycee National De Pignon 55 000,00 $ 90% Jamais terminé<br> SECOSA Lycee National De Gressier 148 457 665 $ 80% Jamais terminé<br> SECOSA Nouveau Lycée National De Hinche 60 463 488,00 $ Oui Jamais Fait</strong><br> </p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>SECOSA, une entreprise enregistrée en République dominicaine a reçu des millions de dollars de contrats sans appel d'offres pour rénover plusieurs lycées autour d'Haïti. Aucun des lycées n'a été rénové et l'argent a été payé en totalité, au moins dans le cadre de trois contrats distincts, la société n'a pas rendu l'argent au gouvernement haïtien. Le gaspillage est stupéfiant, le niveau de corruption et de mauvaise gestion saute aux yeux, mais le gouvernement Jovenel Moise se plaint de ne pas pouvoir absorber les immigrants haïtiens revenant des États-Unis. Quel dommage?</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="https://lenouvelliste.com/article/92271/secosa-un-parcours-de-constructeur">https://lenouvelliste.com/article/92271/secosa-un-parcours-de-constructeur</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:core-embed/wordpress {"url":"https://rezonodwes.com/2020/07/12/un-ministre-tet-kale-tres-decu-accorde-la-mention-zero-aux-25-stades-de-laurent-lamothe/","type":"wp-embed","providerNameSlug":"rezo-nodwes","className":""} --> <figure class="wp-block-embed-wordpress wp-block-embed is-type-wp-embed is-provider-rezo-nodwes"><div class="wp-block-embed__wrapper"> https://rezonodwes.com/2020/07/12/un-ministre-tet-kale-tres-decu-accorde-la-mention-zero-aux-25-stades-de-laurent-lamothe/ </div></figure> <!-- /wp:core-embed/wordpress --> <!-- wp:paragraph --> <p></p> <!-- /wp:paragraph -->
RwK48BLtdS
En tournant le dos au Venezuela les anciennes traditions diplomatiques de la République d’Haïti se meurt
<!-- wp:paragraph --> <p>Haïti, deuxième pays indépendant du continent américain, a compris d’instinct que l’éclosion de nouveaux Etats dans le Nouveau Monde consoliderait son indépendance (<a href="https://www.monde-diplomatique.fr/1957/05/JEANTY/22153#nb1">1</a>). Aussi le président Alexandre Pétion n’a-t-il pas marchandé son aide à Bolivar. Celui-ci, vaincu une première fois, cherche en vain du secours soit aux Etats-Unis, soit à la Jamaïque. Mais les Etats-Unis et l’Angleterre n’avaient aucune raison d’altérer leurs relations avec l’Espagne en favorisant la rébellion dans ses colonies. Bolivar se rendit alors en Haïti. Le président Pétion mit à sa disposition des armes, des munitions, de l’argent, des soldats, surtout les éléments de cette fameuse demi-brigade polonaise, véritables paladins de la liberté qui, envoyés à Saint-Domingue par Bonaparte pour combattre Toussaint-Louverture, refusèrent de se battre contre des hommes qui luttaient pour leur liberté.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>A Bolivar, qui avec insistance lui demandait comment lui manifester sa reconnaissance, Pétion répondit : <em>« En abolissant l’esclavage dans tous les territoires qui tomberont sous votre domination. »</em></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Fidèle à la parole donnée, Bolivar dès son retour au Venezuela libéra immédiatement les mille cinq cents esclaves qu’il avait dans ses domaines. Mais quand il décréta la liberté générale, il provoqua un profond mécontentement dans tout le pays. Les propriétaires d’esclaves étaient lésés. Abandonné de tous, même de ses principaux lieutenants, Bolivar fut battu le 10 juillet 1816 et se réfugia en Haïti. Il y resta six mois. Et une nouvelle fois le président Pétion lui donna des armes, des munitions, de l’argent. Ce sera le triomphe.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Cette aide apportée à la rébellion dans les colonies espagnoles ne mettait pas Haïti en bonne posture vis-à-vis des puissances. Après vingt ans d’existence, elle n’était reconnue officiellement par aucun Etat, et il lui importait d’être reconnue par la France, l’Angleterre, l’Espagne et, à un moindre degré, par les Etats-Unis, dont l’ombre commençait à se profiler sur le continent.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Qu’attendre de l’Angleterre et de l’Espagne, qui certainement redoutaient l’exemple d’Haïti pour leurs colonies toutes proches, la Jamaïque, Cuba et Porto-Rico ? Qu’attendre des Etats-Unis, esclavagistes, qui n’étaient certainement pas enclins à reconnaître un Etat « coloured », pour employer une expression américaine ?</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Restait la France, l’ancienne métropole. Et ce fut elle qui donna le signal. La France républicaine avait été la première à proclamer la liberté générale des esclaves. Une France monarchique, celle de Charles X, fut la première à reconnaître le premier Etat noir indépendant du monde.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Les négociations furent longues et difficiles. Le roi de France, chef d’un des puissants Etats du monde, entretenait les relations les plus cordiales avec les Etats-Unis, l’Angleterre et l’Espagne, qui, nous l’avons vu, n’étaient pas enclins à reconnaître l’indépendance d’Haïti.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>On devait trouver une formule susceptible de ne déplaire à personne, car il fallait tenir compte en outre de l’opinion publique en France. Alors il fut décidé que par une charte le roi Charles X octroierait l’indépendance à l’ancienne colonie de Saint-Domingue moyennant une indemnité, offerte dès le principe, du reste, par le président Pétion pour dédommager les anciens colons.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>L’opposition en Haïti se dressa contre la charte et excita le mécontentement populaire contre ce don, cette charité d’une indépendance si chèrement acquise. Quant à l’indemnité, non seulement elle était trop élevée, mais son principe même était discuté. De nos jours encore la charte de Charles X est matière à controverse et jugée selon les sentiments que l’on éprouve pour le gouvernement du président Boyer qui l’avait acceptée. Cependant l’observateur impartial ne peut qu’approuver le gouvernement haïtien d’avoir accepté la charte. La reconnaissance de l’indépendance d’Haïti par la France était incontestablement un succès pour la diplomatie haïtienne.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Le respect scrupuleux des traités et des pactes, la défense jalouse de l’intégrité de son territoire, une solidarité étroite avec les autres Etats du continent, telles étaient les grandes lignes qui devaient se dessiner de plus en plus nettement de la politique extérieure d’Haïti.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Les proverbes, contes et épopées sont méconnus de la nouvelle génération.Il en est de même que le retour à la terre, le tissage des corbeilles et paniers avec la liane, l’indigénat ( la médecine à la pharmacopée)..."<strong>Le christianisme a mystifié nos coutumes et l’Occident semble avoir pris le dessus sur notre identité culturelle</strong>" explique un septuagénaire.Il déplore la mort certaine de certains us et coutumes au profit de celles de l’Occident qui, selon lui, pervertissent les mœurs de la jeunesse du continent noir.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Selon l’historien Georges Michel, parler de la relation diplomatique entre Haïti et le Venezuela renvoie automatiquement à mars 1806 lorsque l’empereur Jacques 1<sup>er</sup> a fait don d’un stock de drapeaux bleu et rouge à Miranda qui luttait alors pour la libération de la grande Colombie, c’est-à-dire, l’actuel Venezuela, La Colombie, l’Équateur et la Bolivie. C’est sur la place de la douane de Jacmel que Miranda décide d’accoler le jaune au drapeau haïtien pour obtenir les couleurs auxquelles on reconnait aujourd’hui le Venezuela.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Après l’emprisonnement de Miranda en Espagne, Simon Bolivar prend le flambeau de la mobilisation visant à chasser les Espagnols de l’Amérique du Sud. Vaincu, il se sauve du continent, rejoint Haïti le 24 décembre 1815 et rencontre le président Alexandre Pétion à Port-au-Prince le 2 janvier 1816.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Dans « Le temps des humiliés », le professeur Bertrand Badie fait de l’humiliation le mode de conduite par excellence de la diplomatie moderne. La politique extérieure d’Haïti est l’expression la plus éloquente de cette pensée du français. Car, depuis un certain temps, nous sommes rabaissés sur le plan international. Notre souveraineté n’est qu’apparence. « Nous appartenons au bataillon des incapables et des inférieurs au niveau international », soutient Hérold Toussaint dans la préface d’un ouvrage de Pierre Raymond Dumas.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Néanmoins, remontant à l’orée de l’histoire diplomatique d’Haïti, nous nous sommes rendus compte que notre diplomatie n’a pas toujours été symbole de déception et d’improductivité. « Malgré les circonstances handicapantes de son avènement au statut d’Etat-nation, notre pays avait souvent brillé dans l’arène diplomatique », phrase de Pierre Raymond Dumas. « Toussaint Louverture, Jean-Jacques Dessalines et Henri Christophe avaient su définir et établir comme prioritaires les intérêts du pays et avaient su les promouvoir dans leurs relations avec les grandes puissances », ajoute-il. Alexandre Pétion de son côté, n’a pas manqué de faire valoir notre capital historique en léguant à la postérité le concept de panaméricanisme.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Haïti considérait toute atteinte à l’intégrité de son territoire comme une menace à son existence. C’est pourquoi quand, en 1891, l’amiral Bancroft Gherardi, de la marine des Etats-Unis, se présenta avec une flotte importante pour obtenir contre cinq millions de dollars la cession de la baie du Môle de Saint-Nicolas, située en face du canal de Panama (ce qui lui donnait une valeur stratégique de premier ordre), le gouvernement haïtien manœuvra pour décourager l’amiral américain, qui s’en alla les mains vides. Puis vint la guerre hispano-américaine, et les Etats-Unis firent de Guantanamo Bay à Cuba ce qu’ils avaient voulu faire du Môle de Saint-Nicolas. Les années passent. La notion de nationalisme s’est profondément transformée, ses tenants ne sont plus les mêmes. L’intégrité territoriale passe au second plan dans les caractéristiques de la souveraineté. Les forces économiques exercent une pression de plus en plus implacable sur la vie et l’existence des peuples. En regardant en arrière, les générations d’aujourd’hui peuvent discuter le geste de leurs pères refusant l’offre de l’amiral américain... Mais c’est avec le sang versé, c’est avec les sacrifices qu’ils se sont imposés que les fils font la grandeur et la pérennité de leur patrie.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="https://www.loophaiti.com/content/opinion-diplomatie-haitienne-peut-toujours-en-parler">https://www.loophaiti.com/content/opinion-diplomatie-haitienne-peut-toujours-en-parler</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="https://ayibopost.com/entre-haiti-et-le-venezuela-une-longue-histoire-dinterets-et-de-trahisons/">https://ayibopost.com/entre-haiti-et-le-venezuela-une-longue-histoire-dinterets-et-de-trahisons/</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="http://www.gabonews.com/fr/actus/art-et-culture/article/gabon-quand-notre-tradition-se-meurt">http://www.gabonews.com/fr/actus/art-et-culture/article/gabon-quand-notre-tradition-se-meurt</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><a href="https://www.monde-diplomatique.fr/1957/05/JEANTY/22153">https://www.monde-diplomatique.fr/1957/05/JEANTY/22153</a></p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p><br></p> <!-- /wp:paragraph -->
SHARE

Good web design has visual weight, is optimized for various devices, and has content that is prioritized for the medium. The most important elements of a web page should have more visual weight to “naturally attract” a visitor’s attention.

Contents
A good website should be easy to navigateCreating visual rhythms in your layoutsElements that can help website visual compositionDiving into UX and UI designEnsure that interactive elements are easy to identifyBreaking down the barriers

Optimization for various types of devices and resolutions plays a fundamental role in modern website design. Web page layouts should be genuinely responsive and not rely on any fixed-size elements. Web designers using fluid grids and flexible images will guarantee that a web page will render well on a variety of devices, windows, and screen sizes.

Good design is making something intelligible and memorable. Great design is making something memorable and meaningful.

Dieter Rams

Most users search for something interesting (or useful) and clickable; as soon as some promising candidates are found, users click. If the new page doesn’t meet users’ expectations, the back button is clicked and the search process is continued.

A good website should be easy to navigate

Not all websites are made equal. Some websites are simple, logical, and easy to use. Others are a messy hodgepodge of pages and links.

How are innovations in robotics changing the way we perceive the world?

Without website navigation, your visitors can’t figure out how to find your blog, your email signup page, your product listings, pricing, contact information, or help docs.

More Read

Fashionable Summer Accessories to Dress Up Your Travel Look
6 Reasons Why You Should Travel with Friends

Quick and easy access to the content they’re after is more important for your website users than a… visually-stunning design.

Website navigation allows visitors to flow from one page to another without frustration. If you’ve done your job well, visitors leave your site with the intention to return and might even buy something from you or sign up for your email list.

Bad navigation is an especially common problem. We’ve all struggled to find things on disorganized websites without any logical structure. It feels hopeless.

Using “complex large pictures”. Because a carousel generally carries a lot of picture messages, complex large pictures result in low performance and “slow loading rate” of the sites, especially those whose first homepages are occupied by high-resolution carousels.

Creating visual rhythms in your layouts

In design, rhythm is created by simply repeating elements in predictable patterns. This repetition is a natural thing that occurs everywhere in our world. As people, we are driven everyday by predictable, timed events.

Why does Bluetooth use lossy rather than lossless compression

One of the best ways to use repetition and rhythm in web design is in the site’s navigation menu. A consistent, easy-to-follow pattern—in color, layout, etc. Gives users an intuitive roadmap to everything you want to share on your site.

Rhythm also factors into the layout of content. For example, you “might have” blog articles, press releases, and events each follow their own certain layout pattern.

Elements that can help website visual composition

Nobody enjoys looking at an ugly web page. Garish colors, cluttered images and distracting animation can all turn customers “off” and send them shopping “somewhere else”. Basic composition rules to create more effective:

  • Direct the Eye With Leading Lines
  • Balance Out Your Elements
  • Use Elements That Complement Each Other
  • Be clear about your “focal points” and where you place them

The size and position of elements in a composition will determine its balance. An unbalanced design generates tension, which may be the goal in many design projects, but for web apps that demand repeated comfortable use, tension is not a desirable trait.

Diving into UX and UI design

UX and UI: Two terms that are often used interchangeably, but actually mean very different things. So what exactly is the difference?

Styles come and go. Good design is a language, not a style.

Massimo Vignelli

UX design refers to the term “user experience design”, while UI stands for “user interface design”. Both elements are crucial to a product and work closely together. But despite their relationship, the roles themselves are quite different.

Ensure that interactive elements are easy to identify

Good design guides the user by communicating purpose and priority. For that reason, every part of the design should be based on an “informed decision” rather than an arbitrary result of personal taste or the current trend.

Why you should travel with friends?

Provide distinct styles for interactive elements, such as links and buttons, to make them easy to identify. For example, “change the appearance of links” on mouse hover, “keyboard focus”, and “touch-screen activation”.

Breaking down the barriers

Design is not the end-all solution to all of the worlds problems — but with the right thinking and application, it can definitely be a good beginning to start tackling them.

You Might Also Like

10 Places You Can’t Miss If It’s Your First Time in European

8 Mistakes That Will RUIN Your Weekend Trips Plan

16 Top of Our Favorite Outdoor Clothing Brands

Best beaches in the UK for the Perfect Sandy Getaway

Hidden Ways To Save Money That You Might Be Missing

TAGGED: Followme, Landscape, Vacation
Editeur August 26, 2021 August 26, 2021
Share this Article
Facebook Twitter Email Print
Previous Article « Haiti n’est pas mûre pour la démocratie »
Next Article La justice, un pilier fondamental dans la démocratie américaine
Leave a comment

Leave a Reply Cancel reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

about us

We influence 20 million users and is the number one business and technology news network on the planet.

Find Us on Socials

© Foxiz News Network. Ruby Design Company. All Rights Reserved.

Join Us!

Subscribe to our newsletter and never miss our latest news, podcasts etc..

[mc4wp_form]
Zero spam, Unsubscribe at any time.
Welcome Back!

Sign in to your account

Register Lost your password?