« La défaite du droit est toujours éphémère » clament les avocats assurant la défense des prisonniers politiques arrêtés dans le faux coup d’État du 7 février 2021.
Prêt à traquer tout ceux contre son administration, Jovenel Moïse dans une mise en scène a arrêté illégalement, un juge de la cour de Cassation Yvickel Dieujuste Dabrézil, un haut responsable de la PNH, Marie Antoinette Gauthier et plus d’une dizaine de personnes dont des policiers assurant la sécurité de ses fonctionnaires.
En effet, les avocats ont informé la libération de 13 prisonniers qui étaient incarcérés à la Prison civile de la Croix des Bouquets. Parmi les détenus incarcérés à la Prison civile de la Croix des Bouquets, 13 d’entre eux ont recouvré leur liberté conformément à l’arrêt de la Cour d’appel ordonnant leur libération immédiate. L’un est encore écroué au centre carcéral en raison d’une faute orthographique dans son nom a indiqué l’avocat.
Par ailleurs, les quatre femmes incarcérées à la Prison des femmes à Cabaret (Titanyen) devront être libérées ce vendredi a assuré un avocat.
Cependant, Les avocats assurant la défense de ces prisonniers politiques avaient qualifié de victoire la décision de la Cour d’Appel.
Wallace Elie
Communicateur Social /Journaliste.